Pétition à l’attention du Président de Metro Bus
Stop aux campagnes Gleeden affichées par la RATP !
victoire
Stop aux campagnes Gleeden affichées par la RATP !
Gleeden continue inlassablement ses campagnes immorales avec l'aval inconditionnel de la RATP.
Cette dernière contrevient de manière inexplicablement paradoxale à sa politique civique à travers ses multiples campagnes "restons civils sur toute la ligne".
Dans un monde où le mensonge et la fraude semblent prédominer comme le rappelle l'exemple actuel de Volkswagen, avec son scandale des moteurs diesel qui échappent aux tests antipollution, la RATP ne peut ignorer l'affaire récente d'Ashley Madison, le cousin américain de Gleeden.
La publication récente du fichier de ses membres par un groupe de pirates, a montré les pratiques frauduleuses et mensongères de ce site : mensonge sur le nombre de femmes inscrites, masqué par des armées d'automates ou d'intérimaires ; mensonges sur le respect de la confidentialité des données ; mensonges sur le respect des conditions contractuelles.
Les impacts de ces révélations ont déjà provoqué quelques suicides, des publications de noms de stars dans des journaux à scandale, des sanctions internes au sein d'administrations américaines, des actions collectives en justice...toutes manifestant à l'évidence le caractère anti-social et anti-civil d’un tel site.
Il y a évidemment fort à parier que Gleeden soit conforme en tout point au modèle d'Ashley Madison. Comme le révèle le site Marketing-Professionnel dans son article « le mensonge pour fonds de commerce ? », tout est faux dans Gleeden, la pomme est pourrie : chiffres de fréquentation, nombre d’inscrits, répartition hommes / femmes, témoignages bidons, promesse mensongère (site pensé par des femmes alors que les fondateurs, Trudy et Ravy Truchot sont des hommes), fraude fiscale...
Alors, avant qu’un nouveau scandale n’éclate, en France cette fois, que des personnes ne se suicident ou que des couples ne se disloquent, emportant avec eux femme et enfants, mettons la RATP devant ses responsabilités !
Au travers du maintien de ces campagnes, la RATP fait de la duplicité et de la fraude généralisée un modèle moral et civil de la société, dégradant ainsi sensiblement son image de marque et la confiance de ses clients.
Alors, demain, tous sur Frauden, le premier site de fraude généralisée subventionné par la RATP ?
Les responsables de la RATP ne pourront plus jamais s’écrier : « nous ne savions pas » !
Revue de presse :
Comment Ashley Madison s'y est pris pour cacher à ses utilisateurs ses fausses femmes membres mais vrais robots
« Ashley Madison, le site de rencontres extra-conjugales, piraté au mois de juillet, continue de faire parler de lui. "Ashley Madison a créé plus de 70 000 bots (robots qui détiennent de faux comptes, NDLR) de femmes pour envoyer aux utilisateurs masculins des millions de faux messages, afin de créer l’illusion d’un vaste terrain de jeu rempli de femmes disponibles." C’est la conclusion à laquelle est parvenu le site Gizmodo après avoir analysé des données de l’entreprise publiées en ligne, par un groupe de hackeurs se faisant appeler "The Impact Team" ».
Pourquoi il faut repenser la nouvelle économie ?
« Le site fut donc piraté. L'identité de ses 37 millions d'utilisateurs dévoilée. Et son fondateur licencié, en attendant la fermeture d'une entreprise croulant déjà sous les procès. Apôtre de l'infidélité, Ashley Madison se révéla incapable de tenir la moindre promesse, notamment celle de la parité ! Grâce au travail efficace des hackers et aux calculs d'Annalee Newitz (Gizmodo), l'on découvrit que les 37 millions d'utilisateurs ne comptaient que 11 millions d'êtres humains actifs - les autres étant des robots ou des faux comptes. Et, sur ces 11 millions, seulement 1 personne sur 1.000 était une femme ».
Site de rencontres adultères Ashley Madison : les nouvelles révélations
L'affaire a fait réagir jusqu'au Pentagone. Le ministre de la Défense américain Ashton Carter a ainsi déclaré que ses services vérifiaient si des membres de l'armée avaient utilisé le site, l'adultère pouvant mener à des poursuites dans cette administration. "Nous attendons un comportement exemplaire de la part de notre personnel", a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse.
La fuite a également secoué le monde de la télé-réalité américaine. Une de ses stars, Josh Duggar, célèbre pour sa fervente défense des valeurs familiales, a ainsi reconnu jeudi avoir utilisé les services d'Ashley Madison après avoir été débusquée par le site Gawker. "J'ai été le plus gros hypocrite de la terre. Tout en adhérant à ma foi et aux valeurs familiales, j'ai trompé ma femme", a-t-il écrit dans un communiqué. La publication des données par les pirates, qui se font appeler Impact Team, intervient un mois après que ce groupe a déclaré vouloir faire fermer le site ».
Le piratage d’Ashley Madison fracasse la sphère privée sur le web
« De manière plus générale se pose la question de la confiance des internautes dans les sites de rencontres. Car Ashley Madison n’est pas une première. En mai, les préférences sexuelles de 4 millions d’utilisateurs d’AdultFriendFinder ont été mises en ligne. Deux ans plus tôt, 42 millions de mots de passe de comptes sur le réseau de sites Cupid Media sont publiés. Et plus récemment, le site russe de rencontres Topface se fait voler les données de 20 millions d’utilisateurs – il aurait ensuite apparemment payé pour qu’elles ne soient pas publiées ».
Ashley Madison: suicide d'un pasteur américain
« Un pasteur protestant de la Nouvelle-Orléans (sud), dont le nom figurait parmi les inscrits au site de rencontres adultères Ashley Madison, victime d'un récent piratage retentissant, s'est suicidé, a rapporté CNN. John Gibson, 56 ans, qui enseignait également dans un séminaire baptiste, a mis fin à ses jours le 24 août, moins d'une semaine après la publication de millions de données personnelles d'utilisateurs potentiels du site ».
Le piratage d'Ashley Madison prend une tournure dramatique
« Les informations confidentielles sur 33 millions de clients du site de rencontres adultérines ont été révélées la semaine dernière. Jeudi, une action en justice en nom collectif (class action) a été lancée par deux cabinets d'avocats canadiens, au nom de «tous les Canadiens» inscrits sur le site et dont les coordonnées ont été rendues publiques par Impact Team, un groupe de hackers, au cours de la semaine dernière. Elle est portée par Eliot Shore, un homme qui s'était inscrit sur le site après le décès de sa femme.Veuf après trente années de vie conjugale, il espérait y retrouver de la compagnie, mais n'a selon ses dires jamais franchi l'étape de la conversation en ligne ».