NON à l'interdiction des feux dans les cheminées d'agrément

Pétition à l’attention de: Monsieur le Président de la République

 

NON à l'interdiction des feux dans les cheminées d'agrément

NON à l'interdiction des feux dans les cheminées d'agrément

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Cette pétition garde toute son actualité, même si Ségolène Royal a déclaré la mesure « un peu ridicule... un peu absurde » (un peu seulement ?). Il ne s’agit là que d’une posture de circonstance, car :

Ségolène Royal et les écologistes reviendront à la charge plus tard :

Ségolène Royal y reviendra car elle en appelle aux « poêles de chauffage au bois qui sont très performants ». Elle est bien dans la logique des inserts qu’elle nous imposera le jour où la fronde sera moins importante.

Ségolène Royal y reviendra, même si elle déclare ne pas être « favorable à une société d'interdictions ». Elle renonce à celle-ci parce que cette mesure aurait été « de toutes façons très difficile de contrôler chaque utilisateur ». Ah ! Ségolène Royal aime les interdictions si elle pouvait les contrôler ! Pour elle, la « mesure sera peu contraignante ». Elle parle bien au futur. Elle y reviendra !

Non! Le politique n'a pas à s'immiscer dans nos alcoves et nos séjours, ni  s’occuper de nos petits moments de bonheur à la maison. Pourquoi empêcherait-il nos enfants d’être fasciné devant une flamme. Comme le dit  l’écrivain André Bercoff, « nous ne voulons pas hiberner dans une tente à oxygène hermétiquement close ».

 

Avec l’interdiction des feux dans nos cheminées d’agrément, la limite est dépassée. Cette fois-ci, nous refusons de nous soumettre !

Oh certes, en novembre 2006, on nous avait réclamé le prélèvement d’écotaxe CO² de 1 € sur tout achat de téléviseur de moins de 20 pouces, ou de 0,30 € sur l’achat d’un ordinateur portable ! Le seul affichage de ladite taxe devait coûter plus qu’elle ne rapporte ! Nous nous étions dit inconsciemment : « Si cela leur fait plaisir… ». La mesure paraissait sans portée ! 

En fait il s’agissait de tester notre degré d’infantilité. Notre passivité n’a fait qu’inciter nos dirigeants à augmenter un peu plus les contraintes en nous empoisonnant l’existence avec la suppression des sacs à la sortie des caisses de super marchés. C’eut été trop simple de les remplacer par des sacs biodégradables ! Non, les supermarchés en ont profité pour nous faire payer les sacs.

En novembre 2012, une circulaire a interdit les « brûlis » ! Bien sûr, cela a ému une majorité des 19 millions de propriétaires de maisons avec jardins. Bons soldats, nous avons continué à « marcher au pas » en nous équipant de broyeurs inadaptés, onéreux, bruyants et fragiles, ou en dépensant du carburant pour emmener le produit de taille de nos haies dans des déchèteries.

Cette fois-ci, nous refusons de nous soumettre. La mesure touche notre quotidien. Nous refusons de ne plus utiliser les foyers de nos cheminées d’agrément, qui souvent nous servent de chauffage d’appoint.

Nous allons déserter le front de cette guerre stupide contre des pollutions qui n’en sont pas, de cette guerre qui ne sert qu’à alimenter les profits de fabricants de broyeurs ou d’inserts pour cheminée, de cette guerre menée par des fonctionnaires écologistes et bobos cachés dans leur ministères ! Nous sonnons l’alerte auprès du Président de la République.
Nous n’acceptons pas que nos maisons soient envahies de frelons asiatiques trop heureux d'aller nicher dans des conduits de cheminée inutilisés.
Nous ne comprenons pas qu’on sacrifie ainsi une profession entière, celle des ramoneurs toujours serviables malgré la difficulté de leurs tâches, qui en profitaient pour remettre une tuile déplacée par ci ou une ardoise cassée par là.

Nous refusons de ne plus pouvoir raconter à nos enfants que le père Noël est passé par notre cheminée. Ni leur raconter que le loup des trois petits cochons s'est brûlé en tombant dans notre cheminée.

Nous avons la police des mœurs, la police des jeux, la police des eaux. Nous refusons la police des cheminées qui viendra à la première dénonciation de voisins ! Laissez-nous tranquille dans nos foyers. Il ne nous reste plus que cela !

Nous ne sommes pas dupes. On teste la région parisienne, et bientôt, toute la France sera soumise à cette interdiction plus que fumeuse. Abrogez cette mesure, Monsieur le Président de la République.

Cette pétition a été créée par un citoyen ou une association qui n'est pas affilié(e) à CitizenGO. CitizenGO n'est donc pas responsable de son contenu.
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Pétition à l’attention de: Monsieur le Président de la République

A Monsieur le Président de la République, 

Le 1er janvier 2015 approche, date à laquelle s’appliquera l’Arrêté inter-préfectoral n° 2013-084-0002 interdisant les feux de cheminées « même en cas de chauffage d’appoint ou de flambée d’agrément » (art 20). Le champ de l’arrêté s’appliquera à une liste (annexe 2) de 435 communes de l’île de France !

Beaucoup de franciliens qui habitent dans des maisons avec cheminée, ne possèdent pas de chaudières au gaz, au fioul ou autres, car étant d’un coût très élevé : il faut compter plus de 1.000 à 10.000 € pour en acquérir une. Quant aux « inserts », il faudra se tourner vers un leader mondial qui est étranger (norvégien) ou les filiales de groupes industriels (Deville-Taittinger) très habiles à faire un lobby pour promouvoir leurs produits.

De nombreuses personnes concernées sont dans des situations de précarité énergétique. On les avait déjà obligé à s’équiper d’ampoules « dites basses calories » coûteuses et inefficaces et ayant une durée de vie qui s’est révélée mensongère. On nous soumet à des normes d’éco-construction qui renchérissent le coût de nos logements. Les normes se succèdent prouvant que la « croissance verte » ne relève que d’une consommation réglementaire et obligatoire à laquelle seuls les familles aisées peuvent avoir accès. Ces normes et lois portent ainsi atteinte à la justice la plus élémentaire.

L’objectif mis en avant pour l’interdiction des feux de cheminée est de lutter contre les « particules fines ». Cette allégation n’est fondée sur aucune étude épidémiologique. Que ferez-vous pour bloquer à nos frontières les milliards de tonnes de poussières fines qui sont émises chaque année par les vents de sables et par la soixantaine de volcans en activité autour de la planète. Les malheureuses émissions de particules émises par nos brûlis ou nos feux de cheminées sont bien dérisoires à côté de ces chiffres ! Demandez à vos ministères, Monsieur le Président, d’arrêter de nous manipuler avec de fausses peurs. La peur est toujours mauvaise conseillère et cache tant de mensonges auxquels nous ne croyons plus.

L’argument consistant à mettre en cause les mauvais rendements énergétiques de nos cheminées ouvertes n’est pas recevable. Chaque foyer est libre d’investir ou non dans ses équipements de chauffage et en fonction de ses moyens économiques. A-t-on tout pris en compte, dans le rendement énergétique des solutions de remplacement, les dépenses de carburants automobiles, nécessaires au transport des déchets verts dans les déchèteries, ou l’empreinte carbone de la fabrication et l’énergie nécessaire à l’emploi de broyeurs de déchets végétaux inefficaces, onéreux  et bruyants ?  Ces alternatives ne servent que les intérêts de la Fédération Nationale des Métiers de la Jardinerie, ou d’entreprises comme Veolia qui tirent profit de ces interdictions.

Nous ne croyons pas, non plus, à l’argument de l’impact sur le réchauffement climatique puisque le Groupe international des experts du climat (GIEC), lui-même, vient de se ranger dans le camp des climato-sceptique en écrivant : "La plupart des simulations... ne reproduisent pas la réduction [de réchauffement] observée ... sur les derniers 10 ou 15 ans! ... Ces observations de 1998 à 2012 [sont] causées, à un degré substantiel, par la variabilité interne...". Le rapport reconnait même une "surestimation, par certains modèles, de la réponse [aux] gaz à effet de serre". (Rapport GIEC 07.06.2013, p. 743). Tout cela confirme notre intuition : nous sommes bel et bien dans une "panne" du réchauffement climatique due à une variabilité naturelle et les dites causes humaines ont été complètement surestimées dans les calculs.

Monsieur le Président, nous vous demandons, en tant que citoyens de ce pays, de laisser à chacun la liberté d'allumer le soir dans sa cheminée une petite flambée qui n'a jamais provoqué la moindre pollution. Vous feriez mieux de supprimer deux normes anciennes à chaque fois qu'une nouvelle est introduite, afin de limiter l'inflation des règlements qui renchérissent le coût de notre vie quotidienne.

En espérant que notre requête aboutisse, et que votre décision nous « réchauffe » le cœur,

Recevez, Monsieur le Président de la République, l'expression de nos sentiments sincères.

[Votre Nom]

Pétition à l’attention de: Monsieur le Président de la République

A Monsieur le Président de la République, 

Le 1er janvier 2015 approche, date à laquelle s’appliquera l’Arrêté inter-préfectoral n° 2013-084-0002 interdisant les feux de cheminées « même en cas de chauffage d’appoint ou de flambée d’agrément » (art 20). Le champ de l’arrêté s’appliquera à une liste (annexe 2) de 435 communes de l’île de France !

Beaucoup de franciliens qui habitent dans des maisons avec cheminée, ne possèdent pas de chaudières au gaz, au fioul ou autres, car étant d’un coût très élevé : il faut compter plus de 1.000 à 10.000 € pour en acquérir une. Quant aux « inserts », il faudra se tourner vers un leader mondial qui est étranger (norvégien) ou les filiales de groupes industriels (Deville-Taittinger) très habiles à faire un lobby pour promouvoir leurs produits.

De nombreuses personnes concernées sont dans des situations de précarité énergétique. On les avait déjà obligé à s’équiper d’ampoules « dites basses calories » coûteuses et inefficaces et ayant une durée de vie qui s’est révélée mensongère. On nous soumet à des normes d’éco-construction qui renchérissent le coût de nos logements. Les normes se succèdent prouvant que la « croissance verte » ne relève que d’une consommation réglementaire et obligatoire à laquelle seuls les familles aisées peuvent avoir accès. Ces normes et lois portent ainsi atteinte à la justice la plus élémentaire.

L’objectif mis en avant pour l’interdiction des feux de cheminée est de lutter contre les « particules fines ». Cette allégation n’est fondée sur aucune étude épidémiologique. Que ferez-vous pour bloquer à nos frontières les milliards de tonnes de poussières fines qui sont émises chaque année par les vents de sables et par la soixantaine de volcans en activité autour de la planète. Les malheureuses émissions de particules émises par nos brûlis ou nos feux de cheminées sont bien dérisoires à côté de ces chiffres ! Demandez à vos ministères, Monsieur le Président, d’arrêter de nous manipuler avec de fausses peurs. La peur est toujours mauvaise conseillère et cache tant de mensonges auxquels nous ne croyons plus.

L’argument consistant à mettre en cause les mauvais rendements énergétiques de nos cheminées ouvertes n’est pas recevable. Chaque foyer est libre d’investir ou non dans ses équipements de chauffage et en fonction de ses moyens économiques. A-t-on tout pris en compte, dans le rendement énergétique des solutions de remplacement, les dépenses de carburants automobiles, nécessaires au transport des déchets verts dans les déchèteries, ou l’empreinte carbone de la fabrication et l’énergie nécessaire à l’emploi de broyeurs de déchets végétaux inefficaces, onéreux  et bruyants ?  Ces alternatives ne servent que les intérêts de la Fédération Nationale des Métiers de la Jardinerie, ou d’entreprises comme Veolia qui tirent profit de ces interdictions.

Nous ne croyons pas, non plus, à l’argument de l’impact sur le réchauffement climatique puisque le Groupe international des experts du climat (GIEC), lui-même, vient de se ranger dans le camp des climato-sceptique en écrivant : "La plupart des simulations... ne reproduisent pas la réduction [de réchauffement] observée ... sur les derniers 10 ou 15 ans! ... Ces observations de 1998 à 2012 [sont] causées, à un degré substantiel, par la variabilité interne...". Le rapport reconnait même une "surestimation, par certains modèles, de la réponse [aux] gaz à effet de serre". (Rapport GIEC 07.06.2013, p. 743). Tout cela confirme notre intuition : nous sommes bel et bien dans une "panne" du réchauffement climatique due à une variabilité naturelle et les dites causes humaines ont été complètement surestimées dans les calculs.

Monsieur le Président, nous vous demandons, en tant que citoyens de ce pays, de laisser à chacun la liberté d'allumer le soir dans sa cheminée une petite flambée qui n'a jamais provoqué la moindre pollution. Vous feriez mieux de supprimer deux normes anciennes à chaque fois qu'une nouvelle est introduite, afin de limiter l'inflation des règlements qui renchérissent le coût de notre vie quotidienne.

En espérant que notre requête aboutisse, et que votre décision nous « réchauffe » le cœur,

Recevez, Monsieur le Président de la République, l'expression de nos sentiments sincères.

[Votre Nom]