Préservez la santé de la société caribéenne

A l'attention de CARICOM

 

Préservez la santé de la société caribéenne

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13.580 signé. Atteignons 20.000!

La société de la Communauté des Caraïbes (CARICOM) est attaquée ! Vous êtes invités à signer cette Déclaration et l’appel à l’attention des leaders politiques des Caraïbes, qui sera soumise à temps pour la 36e Conférence ordinaire des Chefs de gouvernement de la Communauté des Caraïbes (CARICOM) qui se tiendra à la Barbade du 2 au 4 juillet 2015.

Les citoyens des Caraïbes concernés exhortent nos gouvernements, et invitent les membres associés de la société civile du monde entier à préserver les définitions juridiques du mariage et de la famille existante, à rejeter le mariage de personnes de même sexe, et à rejeter les appels croissants à l'euthanasie.

La communauté des Caraïbes, est sous la pression croissante internationale pour faire accepter une ré-interprétation des droits de l'homme qui va détruire les véritables droits humains fondamentaux et les institutions du mariage et de la famille.

La pression reçue inclue :

1. des affaires juridiques contestant des lois qui interdisent des comportements sexuels contre nature ;

2. une insertion de matériel pédagogique offensant dans les programmes d'éducation sexuelle des enfants âgés de 11/12 ans ;

3. des exigences de la part des organismes des Nations Unies, des groupes internationaux et des gouvernements étrangers, que la CARICOM abroge les lois qui interdisent des comportements sexuels malsains, qui protègent l'enfant à naître et l'innocence de l'enfance ;

4. la punition des ressortissants de la CARICOM qui diraient la vérité sur les comportements sexuels à risque, en mettant fin à leur emploi arbitrairement et en supprimant ses libertés fondamentales de conscience et d'expression ;

5. la formation à la « diversité » des forces de police par un couple marié de personnes de même sexe, en provenance du Canada ;

6. la visite secrète à la Jamaïque de personnes approuvées par le Département d'Etat américain, spécialement envoyées pour les « droits des Lesbien Gay Bisexuel Transgenre (LGBT).

Nous devons régulièrement et fermement rejeter les nouvelles formes d'impérialisme culturel, politique, économique et social. Rejoignez-nous, en tant que membres de la communauté des Caraïbes et en tant qu’alliés du monde entier, pour préserver la société dans toute la région !

Vos signatures seront remises lors de la réunion des chefs d’Etat de la CARICOM à la Barbade du 2 au 4 juillet.

Sincèrement

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13.580 signé. Atteignons 20.000!

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Déclaration de la Société Civile de la CARICOM, Juin 2015

Nous, les soussignés, membres de la société civile de la région de la Communauté des Caraïbes

-           Réaffirmant que la Déclaration universelle des droits de l'homme, de l’année 1948, a reconnu la dignité inhérente et les droits égaux et inaliénables de tous les membres de la famille humaine comme le fondement de la liberté, de la justice et de la paix dans le monde,

-           Conscients de l'engagement des États membres à la Charte de l'Organisation des États Américains, de 1967, de se conformer aux principes internationaux de respect de la personnalité, de la souveraineté et de l'indépendance des États,1 et le droit de chaque Etat de choisir, sans ingérence extérieure, son système politique, économique et sociale2 et de défendre son intégrité et indépendance,3 et le devoir des États américains de ne pas intervenir dans les affaires d'un autre Etat,4 y compris toute forme d'ingérence ou de tendance attentatoire aux éléments politiques, économiques, et culturelles d'un État,5

-           Rappelant que la Déclaration de Singapour sur les Principes du Commonwealth, de 1971, a affirmé que chaque membre était un Etat indépendant et souverain, responsable de ses propres politiques,6

-           Ayant à l'esprit de la Charte de la société civile pour la Communauté des Caraïbes de 1997,7 dans laquelle les chefs de gouvernement de la CARICOM ont réaffirmé leur confiance dans la Communauté des Caraïbes étant une association d'États et Territoires liés par un patrimoine commun et de coopérer dans l'intérêt de leurs propres peuples; et attaché aux principes fondamentaux des droits de l'homme et des libertés, et déterminés à poursuivre les principes déclarés dans la Charte, en réponse aux défis du XXIe siècle,

-           Misant une grande importance sur la convention collective des chefs de gouvernement de la CARICOM à adopter et mettre en œuvre toutes les mesures appropriées pour veiller à la bonne gouvernance juste, ouverte et responsable,8

-           Troublés par les défis économiques et sociaux de plus en plus confrontées les sociétés de la CARICOM, y compris la criminalité, la violence domestique et la maltraitance des enfants, les grossesses précoces, la pauvreté et l'analphabétisme, la toxicomanie, l'exploitation sexuelle, les ménages sans père, et leurs liens directs à la condition précaire de la vie de famille dans chaque société,

-           Convaincus de la nécessité de placer le bien-être holistique des familles des Caraïbes comme une priorité pour les gouvernements nationaux,

-           Confirmant que l'élément naturel et fondamental de la société est la famille, qui a droit à la protection de l'État,9

-           Encouragés par la masse croissante de données empiriques démontrant que les familles intactes et fonctionnelles, basées sur le mariage d'un homme et une femme, est un important générateur de capital social, humain, et financier pour les économies du monde entier,10

-           Soulignant  l'engagement  des  États  membres  de  la  CARICOM  et   des  chefs  de gouvernement de veiller à la réalisation des conditions nécessaires à la promotion de la vie de famille stable et le plein développement et la protection de la famille, y compris la famille élargie,11

-           Conscients que les idées ont surgi qui menacent la dignité inhérente humaine, les droits et libertés fondamentaux de l'homme, et la survie de la famille naturelle,

-           Préoccupés que certains groupes de défense, acteurs transnationaux, gouvernements et entités des Nations Unies imposent sur les nations et les peuples de la CARICOM des «droits» fondés sur une fausse anthropologie, en violation de leur souveraineté nationale et des principes moraux universels qui sont les bases des droits humains fondamentaux véritables,

-           Et considérant que le détournement et l'abus de termes dans les instruments et les débats nationaux, régionaux et internationaux, causent des dangers significatifs pour la stabilité et pour les libertés politiques, économiques et sociales des pays de la CARICOM et de leurs peuples, en particulier, la famille, qui est la fondation de la société;

APPELONS PAR LA PRÉSENTE aux chefs d'État et de gouvernement et tous les dirigeants politiques  de  la  CARICOM,  de  respecter  les  principes  suivants  dans  leurs délibérations  et accords nationaux, régionaux et internationaux au nom des nations et des peuples de la CARICOM:

Clause 1 » AFFIRMER la dignité inhérente à toute personne humaine, faite à l'image du Créateur, la seule source de droits humains fondamentaux. Chaque être humain a droit au libre exercice des droits humains fondamentaux.12

Clause 2 » RÉITÉRER que rien dans la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme peut être interprétée comme impliquant pour un Etat, un groupement ou une personne, un droit quelconque de se livrer à une activité ou d'accomplir un acte visant à la destruction de l'un des droits et libertés dans les présentes.13

Clause 3 » RÉAFFIRMER l'obligation de l'Etats de la CARICOM pour protéger la famille comme l'élément naturel et fondamental de la société en plaçant le bien-être de toute urgence de la famille naturelle comme une considération primordiale dans l'évaluation et la mise en œuvre des politiques et programmes politiques, juridiques, économiques et sociales.

Clause 4 » RÉAFFIRMER l'engagement des États de la CARICOM de respecter et de protéger les valeurs religieuses et culturelles communes de notre peuple et d’assurer la protection de ces valeurs dans toute et tous les instruments régionaux et internationaux.

Clause 5 » AFFIRMER la famille naturelle basée sur la complémentarité des sexes biologiquement déterminés, mâle et femelle, et que chaque enfant est la progéniture d'un homme et d'une femme. Le mariage est donc l'union volontaire d'un homme et une femme. Les enfants sont en droit d'être élevés par leurs parents biologiques et si non, puis par  une  combinaison  similaire  d'un  mâle  et  femelle.  Aucune  autre  combinaison parentalité entre les sexes ne doit être reconnue par la loi.

Clause 6 » RECONNAÎTRE que les sexes masculin et féminin sont enracinées dans la biologie, déterminés à partir de la conception et non interchangeables. Ils ne sont pas interchangeables ou malléable sans interventions chirurgicales ou psychologiques qui sont contraires à la dignité humaine. Les écarts à cette norme représentent une pathologie sur laquelle aucune loi ni politique ne devrait être encadrées.14

Clause 7 » RÉAFFIRMER l'indivisibilité et l'universalité des droits humains fondamentaux de toutes les personnes du simple fait d'être des êtres humains à partir du moment de la conception jusqu'à la mort naturelle.

Clause 8 » REFUSER la création de catégories particulières de «droits» humains qui conduisent à un conflit insoluble et la concurrence.15

Clause 9 » REJETER l'affirmation de l'autonomie personnelle absolue qui constitue un obstacle à la jouissance des droits humains fondamentaux et est contraire à la cohésion et au bon fonctionnement de la communauté.

Clause 10  » ENTREPRENDRE tous les efforts pour préserver la sainteté intrinsèque de la vie de tous les êtres humains sans autre qualification et de rejeter les notions de «droit» de mourir. «Dignité» ou toute expression similaire ne doivent pas être compris comme la promotion de choix et des comportements qui sont contraires à la vie, la morale, l'ordre public et du bien-être général dans une société démocratique.16

Clause 11 » PROTÉGER la santé publique et de la morale en encourageant la vertu et de décourager les formes de comportement qui sont intrinsèquement nocifs à soi-même et ainsi contraires au bien commun.

Clause 12 » REJETER les appels à approuver des comportements qui sont socialement dysfonctionnels, manifestement malsaines et qui mettent en péril l'avenir des sociétés des Caraïbes.

Clause 13 » ETABLIR et de surveiller les programmes d'enseignement pour garantir que  seulement  les  valeurs  solides  et  moralement  saines,  notamment  en  matière  de sexualité humaine, soient communiquées aux étudiants de la région.

Clause 14 »  PRÉSERVER les droits antérieurs des parents de choisir le genre d'éducation à donner à leurs enfants.17

Clause 15 » REJETER les notions de «droits», ou la révision des lois, des politiques de santé publique, les programmes d'enseignement et d'autres politiques publiques, qui sont basées sur de fausses théories de la sexualité humaine.18

Clause  16  »  REJETER  la  stratégie  de  qualifier  l'expression  d'opinions  contraires d’haine, bigoterie ou autre description péjorative similaire envers toute personne ou groupe de personnes.19

Clause 17 » DÉNONCER les efforts par tout État ou acteur transnational de violer la souveraineté des peuples de la CARICOM et de leurs nations en imposant de fausses notions de «droits» sur, ou d'interférer dans leurs systèmes politiques, économiques ou sociaux.20

Clause 18 » DÉCLARER que l'État est soumis à une loi naturelle plus élevée et peut donc simplement reconnaître, mais ne pas créer des droits humains fondamentaux.21Par conséquent, ce n’est pas toutes les demandes de droits de l'homme qui sont universelles ou fondamentales.22

------------------------------

Notes

1 Charte de l'Organisation des États Américains, Art.3B

2 Id, Art.3E

3 Id, Art. 13

4 Id, Art.3E

5 Id, Art.19

6 Déclaration de Singapour, Art.1

7 Adoptée par les chefs de gouvernement de la CARICOM, à leur huitième Réunion intersessions en 1997

8 Charte de la CARICOM de la Société Civile, l'article XVII

9 Déclaration Universelle des Droits de l'Homme (DUDH), Art. 16 (3)

10 Dividende Démographique Durable, www.sustaindemographicdividend.org. Consulté le 3 Juin 2015

11 Charte de la CARICOM de la société civile, Art. XVI

12 Note Explicative: La seule logique d'amarrage pour les droits humains est l'Imago Dei. Les êtres humains sont doués de l'homme par le Créateur. Droits qui ne sont pas en accord avec les lois du Créateur sont illogiques et contraire à concevoir la création d'un conflit irréconciliable entre la réalité et cette revendication a des droits.

13DUDH, Art. 30

14 Note Explicative: Par conception, le sexe masculin et le sexe féminin sont déterminés par la constitution génétique qui informe la structure et la fonction des organes génitaux internes et externes. Un écart dans l'une quelconque de ces trois composants représente pathologie

15 Note Explicative: Ceux-ci comprennent les questions moralement controversées ou des revendications politiques qui ont été encadrées comme un «droit humain», mais ne bénéficient pas d'une acceptation universelle

16  DUDH, Art. 29 (2)

17 DUDH, Art. 26 (3)

18 Note Explicative: Prominent parmi les fausses théories sont celles de Dr. Alfred C Kinsey

19 Note Explicative: Cela comprend revendications que dire la vérité sur le comportement sexuel, en particulier des comportements à haut risque, est homophobe, sectaire ou discours de haine.

20 Note Explicative: Faux notions de «droits» ne sont pas conformes aux lois du Créateur. Ils sont illogique et contraire à concevoir la création d'un conflit irréconciliable entre la réalité et que la revendication des droits.

21 Note Explicative: Ce reconnaît que l'État est pas une loi en soi ni un distributeur de droits de l'homme, mais plutôt l'état est l'objet d'une loi supérieure et son rôle est de reconnaître et de se conformer à cette loi supérieure.

[Votre Nom]

Déclaration de la Société Civile de la CARICOM, Juin 2015

Nous, les soussignés, membres de la société civile de la région de la Communauté des Caraïbes

-           Réaffirmant que la Déclaration universelle des droits de l'homme, de l’année 1948, a reconnu la dignité inhérente et les droits égaux et inaliénables de tous les membres de la famille humaine comme le fondement de la liberté, de la justice et de la paix dans le monde,

-           Conscients de l'engagement des États membres à la Charte de l'Organisation des États Américains, de 1967, de se conformer aux principes internationaux de respect de la personnalité, de la souveraineté et de l'indépendance des États,1 et le droit de chaque Etat de choisir, sans ingérence extérieure, son système politique, économique et sociale2 et de défendre son intégrité et indépendance,3 et le devoir des États américains de ne pas intervenir dans les affaires d'un autre Etat,4 y compris toute forme d'ingérence ou de tendance attentatoire aux éléments politiques, économiques, et culturelles d'un État,5

-           Rappelant que la Déclaration de Singapour sur les Principes du Commonwealth, de 1971, a affirmé que chaque membre était un Etat indépendant et souverain, responsable de ses propres politiques,6

-           Ayant à l'esprit de la Charte de la société civile pour la Communauté des Caraïbes de 1997,7 dans laquelle les chefs de gouvernement de la CARICOM ont réaffirmé leur confiance dans la Communauté des Caraïbes étant une association d'États et Territoires liés par un patrimoine commun et de coopérer dans l'intérêt de leurs propres peuples; et attaché aux principes fondamentaux des droits de l'homme et des libertés, et déterminés à poursuivre les principes déclarés dans la Charte, en réponse aux défis du XXIe siècle,

-           Misant une grande importance sur la convention collective des chefs de gouvernement de la CARICOM à adopter et mettre en œuvre toutes les mesures appropriées pour veiller à la bonne gouvernance juste, ouverte et responsable,8

-           Troublés par les défis économiques et sociaux de plus en plus confrontées les sociétés de la CARICOM, y compris la criminalité, la violence domestique et la maltraitance des enfants, les grossesses précoces, la pauvreté et l'analphabétisme, la toxicomanie, l'exploitation sexuelle, les ménages sans père, et leurs liens directs à la condition précaire de la vie de famille dans chaque société,

-           Convaincus de la nécessité de placer le bien-être holistique des familles des Caraïbes comme une priorité pour les gouvernements nationaux,

-           Confirmant que l'élément naturel et fondamental de la société est la famille, qui a droit à la protection de l'État,9

-           Encouragés par la masse croissante de données empiriques démontrant que les familles intactes et fonctionnelles, basées sur le mariage d'un homme et une femme, est un important générateur de capital social, humain, et financier pour les économies du monde entier,10

-           Soulignant  l'engagement  des  États  membres  de  la  CARICOM  et   des  chefs  de gouvernement de veiller à la réalisation des conditions nécessaires à la promotion de la vie de famille stable et le plein développement et la protection de la famille, y compris la famille élargie,11

-           Conscients que les idées ont surgi qui menacent la dignité inhérente humaine, les droits et libertés fondamentaux de l'homme, et la survie de la famille naturelle,

-           Préoccupés que certains groupes de défense, acteurs transnationaux, gouvernements et entités des Nations Unies imposent sur les nations et les peuples de la CARICOM des «droits» fondés sur une fausse anthropologie, en violation de leur souveraineté nationale et des principes moraux universels qui sont les bases des droits humains fondamentaux véritables,

-           Et considérant que le détournement et l'abus de termes dans les instruments et les débats nationaux, régionaux et internationaux, causent des dangers significatifs pour la stabilité et pour les libertés politiques, économiques et sociales des pays de la CARICOM et de leurs peuples, en particulier, la famille, qui est la fondation de la société;

APPELONS PAR LA PRÉSENTE aux chefs d'État et de gouvernement et tous les dirigeants politiques  de  la  CARICOM,  de  respecter  les  principes  suivants  dans  leurs délibérations  et accords nationaux, régionaux et internationaux au nom des nations et des peuples de la CARICOM:

Clause 1 » AFFIRMER la dignité inhérente à toute personne humaine, faite à l'image du Créateur, la seule source de droits humains fondamentaux. Chaque être humain a droit au libre exercice des droits humains fondamentaux.12

Clause 2 » RÉITÉRER que rien dans la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme peut être interprétée comme impliquant pour un Etat, un groupement ou une personne, un droit quelconque de se livrer à une activité ou d'accomplir un acte visant à la destruction de l'un des droits et libertés dans les présentes.13

Clause 3 » RÉAFFIRMER l'obligation de l'Etats de la CARICOM pour protéger la famille comme l'élément naturel et fondamental de la société en plaçant le bien-être de toute urgence de la famille naturelle comme une considération primordiale dans l'évaluation et la mise en œuvre des politiques et programmes politiques, juridiques, économiques et sociales.

Clause 4 » RÉAFFIRMER l'engagement des États de la CARICOM de respecter et de protéger les valeurs religieuses et culturelles communes de notre peuple et d’assurer la protection de ces valeurs dans toute et tous les instruments régionaux et internationaux.

Clause 5 » AFFIRMER la famille naturelle basée sur la complémentarité des sexes biologiquement déterminés, mâle et femelle, et que chaque enfant est la progéniture d'un homme et d'une femme. Le mariage est donc l'union volontaire d'un homme et une femme. Les enfants sont en droit d'être élevés par leurs parents biologiques et si non, puis par  une  combinaison  similaire  d'un  mâle  et  femelle.  Aucune  autre  combinaison parentalité entre les sexes ne doit être reconnue par la loi.

Clause 6 » RECONNAÎTRE que les sexes masculin et féminin sont enracinées dans la biologie, déterminés à partir de la conception et non interchangeables. Ils ne sont pas interchangeables ou malléable sans interventions chirurgicales ou psychologiques qui sont contraires à la dignité humaine. Les écarts à cette norme représentent une pathologie sur laquelle aucune loi ni politique ne devrait être encadrées.14

Clause 7 » RÉAFFIRMER l'indivisibilité et l'universalité des droits humains fondamentaux de toutes les personnes du simple fait d'être des êtres humains à partir du moment de la conception jusqu'à la mort naturelle.

Clause 8 » REFUSER la création de catégories particulières de «droits» humains qui conduisent à un conflit insoluble et la concurrence.15

Clause 9 » REJETER l'affirmation de l'autonomie personnelle absolue qui constitue un obstacle à la jouissance des droits humains fondamentaux et est contraire à la cohésion et au bon fonctionnement de la communauté.

Clause 10  » ENTREPRENDRE tous les efforts pour préserver la sainteté intrinsèque de la vie de tous les êtres humains sans autre qualification et de rejeter les notions de «droit» de mourir. «Dignité» ou toute expression similaire ne doivent pas être compris comme la promotion de choix et des comportements qui sont contraires à la vie, la morale, l'ordre public et du bien-être général dans une société démocratique.16

Clause 11 » PROTÉGER la santé publique et de la morale en encourageant la vertu et de décourager les formes de comportement qui sont intrinsèquement nocifs à soi-même et ainsi contraires au bien commun.

Clause 12 » REJETER les appels à approuver des comportements qui sont socialement dysfonctionnels, manifestement malsaines et qui mettent en péril l'avenir des sociétés des Caraïbes.

Clause 13 » ETABLIR et de surveiller les programmes d'enseignement pour garantir que  seulement  les  valeurs  solides  et  moralement  saines,  notamment  en  matière  de sexualité humaine, soient communiquées aux étudiants de la région.

Clause 14 »  PRÉSERVER les droits antérieurs des parents de choisir le genre d'éducation à donner à leurs enfants.17

Clause 15 » REJETER les notions de «droits», ou la révision des lois, des politiques de santé publique, les programmes d'enseignement et d'autres politiques publiques, qui sont basées sur de fausses théories de la sexualité humaine.18

Clause  16  »  REJETER  la  stratégie  de  qualifier  l'expression  d'opinions  contraires d’haine, bigoterie ou autre description péjorative similaire envers toute personne ou groupe de personnes.19

Clause 17 » DÉNONCER les efforts par tout État ou acteur transnational de violer la souveraineté des peuples de la CARICOM et de leurs nations en imposant de fausses notions de «droits» sur, ou d'interférer dans leurs systèmes politiques, économiques ou sociaux.20

Clause 18 » DÉCLARER que l'État est soumis à une loi naturelle plus élevée et peut donc simplement reconnaître, mais ne pas créer des droits humains fondamentaux.21Par conséquent, ce n’est pas toutes les demandes de droits de l'homme qui sont universelles ou fondamentales.22

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Notes

1 Charte de l'Organisation des États Américains, Art.3B

2 Id, Art.3E

3 Id, Art. 13

4 Id, Art.3E

5 Id, Art.19

6 Déclaration de Singapour, Art.1

7 Adoptée par les chefs de gouvernement de la CARICOM, à leur huitième Réunion intersessions en 1997

8 Charte de la CARICOM de la Société Civile, l'article XVII

9 Déclaration Universelle des Droits de l'Homme (DUDH), Art. 16 (3)

10 Dividende Démographique Durable, www.sustaindemographicdividend.org. Consulté le 3 Juin 2015

11 Charte de la CARICOM de la société civile, Art. XVI

12 Note Explicative: La seule logique d'amarrage pour les droits humains est l'Imago Dei. Les êtres humains sont doués de l'homme par le Créateur. Droits qui ne sont pas en accord avec les lois du Créateur sont illogiques et contraire à concevoir la création d'un conflit irréconciliable entre la réalité et cette revendication a des droits.

13DUDH, Art. 30

14 Note Explicative: Par conception, le sexe masculin et le sexe féminin sont déterminés par la constitution génétique qui informe la structure et la fonction des organes génitaux internes et externes. Un écart dans l'une quelconque de ces trois composants représente pathologie

15 Note Explicative: Ceux-ci comprennent les questions moralement controversées ou des revendications politiques qui ont été encadrées comme un «droit humain», mais ne bénéficient pas d'une acceptation universelle

16  DUDH, Art. 29 (2)

17 DUDH, Art. 26 (3)

18 Note Explicative: Prominent parmi les fausses théories sont celles de Dr. Alfred C Kinsey

19 Note Explicative: Cela comprend revendications que dire la vérité sur le comportement sexuel, en particulier des comportements à haut risque, est homophobe, sectaire ou discours de haine.

20 Note Explicative: Faux notions de «droits» ne sont pas conformes aux lois du Créateur. Ils sont illogique et contraire à concevoir la création d'un conflit irréconciliable entre la réalité et que la revendication des droits.

21 Note Explicative: Ce reconnaît que l'État est pas une loi en soi ni un distributeur de droits de l'homme, mais plutôt l'état est l'objet d'une loi supérieure et son rôle est de reconnaître et de se conformer à cette loi supérieure.

[Votre Nom]