DÉFENDRE UN DE NOUS, UNE DERNIÈRE FOIS !

A l'attention de la commission européenne

 

DÉFENDRE UN DE NOUS, UNE DERNIÈRE FOIS !

DÉFENDRE UN DE NOUS, UNE DERNIÈRE FOIS !

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59.978 signé. Atteignons 100.000!

Avec plus de 1,7 millions de signatures récoltées, « Un de nous » est l'initiative citoyenne européenne qui a rencontré le plus de succès à ce jour. Tout cela grâce à vous, car vous l'avez rendu possible en exprimant votre soutien et en collectant des signatures des mois durant.


L'initiative « Un de nous », qui fait face à un dernier écueil dans sa démarche vers une reconnaissance officielle, a besoin de votre aide une dernière fois.
Contribuez, en envoyant un e-mail à la Commission européenne, à soutenir votre initiative, « Un de nous ». À chaque signature de cette pétition, un e-mail sera directement envoyé à la direction de la Commission européenne.


« Un de nous » subit une attaque de la part de l'International Planned Parenthood Federation et des membres pro-avortement du Parlement européen. Votre e-mail à la Commission contribuera fortement à défendre « Un de nous ».
Il faut une voix objective qui défende la vie au sein de l'Union européenne. « Un de nous » sera cette voix.

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Ce qu'est « Un de nous » :
(D'après leur site internet : http://www.undenous.fr/initiative-europeenne/)


« Un de nous » est l'une des premières ICE (Initiative Citoyenne Européenne) déposée auprès de l'Union Européenne. Son but est de faire grandement progresser la protection de la vie humaine dès sa conception – dans le champ des possibles que définissent les compétences de l'Union européenne. Se fondant sur la définition de l'embryon humain comme le début du développement d'un être humain, telle que donnée dans un récent jugement de la CJE (Brüstle contre Greenpeace), « Un de nous » demande à l'Union européenne de mettre un terme au financement d'activités qui présupposent la destruction d'embryons humains, en particulier dans les domaines de la recherche, l'aide au développement et la santé publique.

Cela passera par un changement de la réglementation financière de l'Union européenne qui détermine les dépenses du budget de l'UE. L'interdiction d'un tel financement contribuera grandement à l'homogénéité de la législation de l'UE.


« Un de nous » peut compter sur de larges soutiens : Églises, politiques, membres du parlement européen et dirigeants de la société civile qui se sont engagés à soutenir l'initiative de diverses manières. En plus du comité responsable, composé de sept citoyens de différents pays, un bureau central de coordination mène la campagne de cette initiative.

Cette campagne actuelle de soutien est menée par CitizenGO et non pas par le comité officiel de "One of Us". Elle provient de citoyens ayant décidé de s'investir dans la vie "politique".

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Relance pour l'initiative citoyenne européenne UN DE NOUS

Plus de 1,7 millions de citoyens européens ont signé l'initiative citoyenne européenne UN DE NOUS. Une audition de l'initiative s'est tenue au Parlement européen le 10 avril 2014 ainsi qu'une réunion entre les représentants de la Commission européenne et le comité de citoyens le 9 avril.


La pétition est motivée par une grave inquiétude au sujet des droits de l'homme. Elle demande que l'on légifère pour empêcher que des financements de l'UE ne servent des fins qui impliquent ou présupposent la destruction d'embryons humains. Si la pétition est d'ordre général, les domaines qui méritent une attention particulière sont les plans d'aide de l'UE en matière de recherche et développement.

En ce qui concerne le programme de recherche de l'UE « Horizon 2020 », l'audition au Parlement européen a révélé que le cadre éthique existant est totalement inadapté. Ce que la Commission européenne souhaite faire passer pour un engagement éthique rigoureux n'est rien d'autre qu'une déclaration comme quoi elle ne finance ni les activités qui sont illégales dans le pays où elles ont lieu, ni les activités qui sont illégales dans l'ensemble des 28 états membres. En d'autres termes, une activité de recherche est éligible au financement de l'UE si elle est illégale dans 27 des 28 états membres – et la Commission européenne appelle cela un engagement éthique !!!

L'audition a aussi révélé que la recherche controversée sur les cellules souches embryonnaires est de plus en plus considérée comme peu à même de déboucher sur un quelconque usage thérapeutique. L'UE gagnerait par conséquent à allouer son budget recherche à des domaines plus prometteurs.

En ce qui concerne l'aide au développement, il y a un consensus sur le fait que la lutte contre la mortalité maternelle dans les pays en développement est un objectif important. Toutefois, ce but ne justifie nullement la pratique actuelle de l'UE qui consiste à financer des avortements dans les pays en développement où l'avortement est légal et même, comme il a pu ressortir de l'audition, dans les pays où il ne l'est pas.

Non seulement l'avortement n'aide pas à réduire la mortalité maternelle, mais il constitue déjà en soi un grave risque sanitaire pour les femmes. Les statistiques démontrent que la mortalité maternelle est moins élevée dans les pays qui ont des lois restreignant l'avortement.

La Commission européenne ferait mieux de prêter attention aux citoyens plutôt qu'aux intérêts des praticiens de l'avortement comme l'IPPF.

Nous considérons également que, la conformité de la pétition à toutes les exigences légales et formelles et aux valeurs de l'UE ayant été établie au moment de son dépôt, il ne reste à l'UE aucune marge de manœuvre « politique » qui lui permette d'empêcher cette pétition d'aboutir.

En conséquence, nous exhortons la Commission à donner une réponse adéquate à l'initiative citoyenne UN DE NOUS en entamant une procédure législative sur la base des propositions qui ont fait le succès de cette initiative citoyenne.

Je vous prie d'agréer ma sincère considération,

[Votre Nom]

Relance pour l'initiative citoyenne européenne UN DE NOUS

Plus de 1,7 millions de citoyens européens ont signé l'initiative citoyenne européenne UN DE NOUS. Une audition de l'initiative s'est tenue au Parlement européen le 10 avril 2014 ainsi qu'une réunion entre les représentants de la Commission européenne et le comité de citoyens le 9 avril.


La pétition est motivée par une grave inquiétude au sujet des droits de l'homme. Elle demande que l'on légifère pour empêcher que des financements de l'UE ne servent des fins qui impliquent ou présupposent la destruction d'embryons humains. Si la pétition est d'ordre général, les domaines qui méritent une attention particulière sont les plans d'aide de l'UE en matière de recherche et développement.

En ce qui concerne le programme de recherche de l'UE « Horizon 2020 », l'audition au Parlement européen a révélé que le cadre éthique existant est totalement inadapté. Ce que la Commission européenne souhaite faire passer pour un engagement éthique rigoureux n'est rien d'autre qu'une déclaration comme quoi elle ne finance ni les activités qui sont illégales dans le pays où elles ont lieu, ni les activités qui sont illégales dans l'ensemble des 28 états membres. En d'autres termes, une activité de recherche est éligible au financement de l'UE si elle est illégale dans 27 des 28 états membres – et la Commission européenne appelle cela un engagement éthique !!!

L'audition a aussi révélé que la recherche controversée sur les cellules souches embryonnaires est de plus en plus considérée comme peu à même de déboucher sur un quelconque usage thérapeutique. L'UE gagnerait par conséquent à allouer son budget recherche à des domaines plus prometteurs.

En ce qui concerne l'aide au développement, il y a un consensus sur le fait que la lutte contre la mortalité maternelle dans les pays en développement est un objectif important. Toutefois, ce but ne justifie nullement la pratique actuelle de l'UE qui consiste à financer des avortements dans les pays en développement où l'avortement est légal et même, comme il a pu ressortir de l'audition, dans les pays où il ne l'est pas.

Non seulement l'avortement n'aide pas à réduire la mortalité maternelle, mais il constitue déjà en soi un grave risque sanitaire pour les femmes. Les statistiques démontrent que la mortalité maternelle est moins élevée dans les pays qui ont des lois restreignant l'avortement.

La Commission européenne ferait mieux de prêter attention aux citoyens plutôt qu'aux intérêts des praticiens de l'avortement comme l'IPPF.

Nous considérons également que, la conformité de la pétition à toutes les exigences légales et formelles et aux valeurs de l'UE ayant été établie au moment de son dépôt, il ne reste à l'UE aucune marge de manœuvre « politique » qui lui permette d'empêcher cette pétition d'aboutir.

En conséquence, nous exhortons la Commission à donner une réponse adéquate à l'initiative citoyenne UN DE NOUS en entamant une procédure législative sur la base des propositions qui ont fait le succès de cette initiative citoyenne.

Je vous prie d'agréer ma sincère considération,

[Votre Nom]