Les droits de l'Homme LGTB n'existent pas. Les droits de l'Homme sont universels.
Les droits de l'Homme LGBT n'existent pas
Les droits de l'Homme LGBT n'existent pas
La République dominicaine accueille la 46e Assemblée générale de l'Organisation des États américains. Son ordre du jour comprend la promotion du «mariage» homosexuel et de l'avortement.
L’Assemblée générale de l'OAS se tiendra le 15 juin en République Dominicaine et CitizenGO y sera.
Concernant l'ordre du jour, il s’agit de faire de la promotion de l'avortement et du « mariage » gay comme faisant partie intégrante des droits de l’Homme, et ce, dans toute l’Amérique.
MARIAGE GAY
Le décret nº 16-03 présenté par le Brésil et coparrainé par l'Argentine, le Canada, le Chili, la Colombie, les États-Unis et Uruguay- conviennent de ce qui suit:
"Prendre les mesures nécessaires et efficaces pour l'intégration et la non-discrimination des personnes ayant des orientations sexuelles, des identités ou expressions de genre différentes au sein de l'OAS".
Mais également:
• Mettre en place un comité de suivi de la mise en œuvre des politiques,
• Mettre en œuvre un mécanisme impliquant le lobby LGBT dans les structures de l'OAS,
• Obliger les États à protéger les minorités LGBT,
• Obliger les États à protéger les militants LGBT, et les qualifier de «militants des droits de l'Homme",
• Obliger les États à protéger les personnes intersexuées grâce à des «pratiques médicales conformes aux normes, et reconnues en matière de droits".
• Obliger la Commission interaméricaine des droits de l'Homme et le Secrétariat général à porter "une attention particulière" au lobby LGBT.
Pourquoi accorder une attention particulière à un groupe particulier ? Pourquoi créer des lois, des politiques et des organismes spécifiques, alors qu’existe déjà la Convention interaméricaine contre toutes formes de discrimination?
Certes, la Convention sur la discrimination -actuellement utilisée par le lobby gay et OAS- établit le droit d'exprimer des opinions et de les diffuser, d'enquêter, sans être inquiétés dans leur liberté de conscience et d'expression. Mais ce décret controversé réinterprète le Programme interaméricain des droits au favoritisme du lobby LGBT. Or les Droits de l'homme sont universels. Sinon, il s’agit privilèges accordés à des groupes de pression.
Le Parlement et le gouvernement paraguayen ont déjà rejetés cette ingérence idéologique illégitime au regard de la souveraineté de leur pays.
Ce décret dépasse clairement le mandat et les pouvoirs du secrétaire général. L'OAS n'a pas été fondé pour cela, et aucun Etat membre ne lui a donné un tel mandat.
AVORTEMENT
A l'occasion de la crise sanitaire du « Zika », le Secrétaire Général, Luis Almagro a déclaré ceci:
"L’interruption de grossesse serait justifiée (...) C’est une question d'équité et de droits (...) Ceci est une occasion historique pour faire un saut qualitatif dans la lutte constante pour le droit universel et intégral à la qualité des soins pour une meilleure santé ".
Pourtant, le « consensus du Caire » a clairement indiqué que l'avortement ne pouvait pas être considéré comme faisant partie intégrante de « la santé ».
L'OAS lance également un appel à la Convention sur droits sexuels et reproductifs, qui n’est nullement une convention officielle, mais une simple officine de groupuscules féministes.
En outre, dans son projet de plan d'action préliminaire pour « la Décennie et les afro-descendants des Amériques (2016-2025) » qui a été proposé par le Brésil, l'OAS introduit de façon inattendue les notions de «droits sexuels et reproductifs" et de «santé sexuelle et reproductive», qui ne correspondent qu’à un changement de vocabulaire pour dire : Avortement.
Écrivez aux ambassadeurs de l'OAS et demandez-leur de rejeter les propositions qui portent atteinte à la souveraineté des États, au droit à la vie, à la liberté d'expression et de conscience, ainsi qu’à la liberté religieuse.
En signant cette campagne, vous allez envoyer un message fort aux ambassadeurs de l'OAS dans les différents pays membres.