L'avortement n'est pas un droit fondamental
Non à l'avortement dans la charte de l'UE
Non à l'avortement dans la charte de l'UE
Emmanuel Macron, Président de la République française, qui occupe la présidence tournante de l’Union européenne pour 6 mois, veut faire de l’avortement un droit fondamental de l’Union européenne et l’inscrire dans sa charte !
Cette nouvelle attaque vise à contraindre tous les États membres de l’Union européenne sur l’avortement — on pense notamment à Malte et à la Pologne —. Ils voudront promouvoir l’avortement pour toutes les femmes et toutes les filles, le plus tard possible !
Mais comme nous le savons, il n’existe pas de « droit humain » à l’avortement.
L’avortement n’est qu’une chose : l’acte de mettre fin à la vie d’un être humain innocent et sans défense. En outre, l’avortement a également plusieurs conséquences négatives sur les femmes. En contradiction avec les déclarations d’Emmanuel Macron et ce qu’il croit pouvoir défendre.
Un tel droit n’existe dans aucun traité international. Et les déclarations du président Macron sont une tentative de plus pour obtenir une reconnaissance européenne, et demain internationale de l’avortement comme un droit de l’homme, un droit fondamental.
Le président français veut que l’UE devienne une « Union de l’avortement » . C’est ce qu’a annoncé Emmanuel Macron lors de la présentation du programme de travail de la présidence française du Conseil, le 19 janvier à Strasbourg. À cette fin, la Charte des droits fondamentaux de l’UE doit être mise à jour et un « droit à l’avortement » ajouté.
Cette annonce n’arrive pas là par hasard
Les propos du Président Macron fait suite à l’élection de l’eurodéputée Roberta Metsola à la présidence du Parlement. C’est une menace et une pression directe qu’émet Emmanuel Macron au Parlement européen et à cette nouvelle présidente maltaise qui est contre l’avortement.
Mais sous la pression d’Emmanuel Macron et de nombreux eurodéputés, elle a déjà changé d’avis, car Roberta Metsola a assuré qu’en cas d’élection, son « devoir sera de représenter la position du Parlement », y compris sur les droits sexuels et reproductifs.