Pensée n'est pas illégale
La prière n'est pas un crime
La prière n'est pas un crime
MAJ :
Isabel de nouveau arrêtée
https://twitter.com/adf_uk/status/1632820479131099136?s=46&t=fJOSK8EiYG4...
Isabel Vaughan-Spruce, directrice de March for Life UK et bénévole depuis de nombreuses années dans l’accompagnement des femmes en situation de grossesse difficile, a été arrêtée de manière humiliante et inculpée de quatre chefs d’accusation pour s’être tenue silencieusement dans la rue et avoir prié.
Isabel se tenait silencieusement dans une zone « protégée » par une ordonnance de protection de l’espace public en raison de sa proximité avec un centre d’avortement. Elle ne portait aucun signe ou symbole religieux et n’exprimait aucune opinion sur l’avortement (activités interdites dans la zone) ; elle se tenait simplement en silence et en contemplation.
Non seulement Mme Vaughan-Spruce n’exprimait pas d’opinion sur l’avortement, mais elle avait également pris des mesures pour s’assurer qu’elle ne pouvait pas être perçue comme harcelante ou intimidant les utilisateurs ou le personnel du centre d’avortement en n’entrant dans la zone que lorsque celle-ci était fermée.
Isabel a été fouillée, arrêtée, placée dans une cellule de prison, interrogée puis inculpée, tout cela à cause de ce qu’elle aurait pu penser. Lorsqu’on lui a présenté des photos d’elle debout en silence dans la zone, on a demandé à Isabel si elle priait et elle a répondu qu’elle ne savait pas, qu’elle priait peut-être, ou qu’elle était peut-être distraite et pensait à ce qu’elle pourrait déjeuner.
Il est absolument insensé que quelqu’un soit poursuivi au pénal pour ce à quoi il a pu penser, surtout lorsque ces pensées sont totalement pacifiques et ne représentent aucune menace.
Tout aussi choquant, la police a tenté de restreindre davantage les libertés religieuses d’Isabel en l’empêchant de contacter un prêtre catholique local qui est également impliqué dans le travail pro-vie, une restriction qui a été abandonnée par la suite, mais il lui est également interdit de prendre part à toute autre forme de prière publique pour « prévenir d’autres infractions ». En d’autres termes, au cas où la présence d’Isabel encouragerait d’autres personnes à avoir de mauvaises pensées en public.
Isabel est une femme responsable et tolérante, mais elle a été traitée comme une criminelle violente.
Nous ne devons pas permettre au crime de pensée d’entrer dans les livres de loi par la porte de derrière. La situation d’Isabel montre comment les zones de censure, aussi bien intentionnées soient-elles, portent atteinte aux libertés civiles et aux droits humains fondamentaux.
Signez pour demander que Suella Braverman intervienne personnellement et que toutes les charges contre Isabel Vaughan-Spruce soient abandonnées.