Non à l'islamisation de la France
Non au Burkini en France
Non au Burkini en France
Le Maire islamo-gauchiste de Grenoble, Eric Piolle, fait à nouveau parler de lui et s’apprêter à autoriser le Burquini dans les piscines de la ville de Grenoble.
Le nouveau règlement des piscines grenobloises sera présenté le 16 mai prochain en conseil municipal. Un texte qui ne mentionne pas spécifiquement le mot « Burquini ». Mais son article 10 l’autorise de fait en supprimant toute notion d’interdiction des maillots de bain d’une certaine longueur. Pour le maire islamo-gauchiste de Grenoble, Éric Piolle, le service public doit être ouvert à tous.
Ce n’est pas la première fois que ce débat intervient à Grenoble. En 2019, CitizenGO avait lancé une pétition sur le même sujet et face aux pressions de la société civile, des politiques et de notre pétition, il avait reculé !
Ce maire, comme le parti Europe écologie les verts, est connu pour son soutien à l’islamisme politique et sa haine envers les chrétiens. Il n’y a pas de sapins de Noël à Grenoble à l’occasion de Noël — pardon, des fêtes de fin d’année — au nom de la laïcité.
Il est nécessaire de se mobiliser contre cette laïcité à deux vitesses et lutter contre l’islamisme politique.
« C’est un progrès social dans l’accessibilité du service public. Chacun peut venir à la piscine habillée comme il le souhaite », insiste l’édile islamo-gauchiste. « Nous sommes profondément universalistes, et donc nous voulons cette égalité devant le service public plutôt qu’un texte qui réglemente notamment la tenue des femmes, comme souvent dans l’histoire. »
Progrès, liberté, patriarcat, universalisme, etc. Le maire n’hésite pas à utiliser les adjectifs des lumières et de la gauche pour parler du burquini… Or, il défend l’obscurantisme et une vision rétrograde de la femme !
Le Burkini est une revendication politico-religieuse et est une tenue intégriste qui est originaire des pays musulmans les plus radicaux. Comme le disent de nombreux élus, organisations, ces militants islamistes testent la République, je dirais plutôt qu’ils testent la France. Il y a des raisons d’hygiène évidemment, mais nous ne cherchons pas à aller sur ce terrain pour demander l’interdiction du burquini. C’est une volonté d’islamiser la société française et c’est une nouvelle bataille de l’Islam politique.