Pétition aux représentants de la Chambre,
Pétition : Vote pour la protection de la vie à naître en Belgique
Pétition : Vote pour la protection de la vie à naître en Belgique
La nouvelle loi proposée garantirait que l’avortement disparaisse complètement du droit pénal et permettrait d’effectuer l’avortement jusqu’à 18 semaines après la fécondation. Le temps d’attente serait également réduit à 48 heures. Nous ne sommes pas d’accord avec ça.
PROLONGER LA DATE LIMITE ?
Même avant l’âge de 12 semaines, un fœtus est clairement un être humain et non un tas informe de cellules, pas un morceau anonyme de viande. Le délai serait encore plus impressionnant que nous ne devrions pas respecter la dignité humaine de cette créature. Cela affecte les valeurs fondamentales de notre civilisation.
Chez un fœtus de 18 semaines, on peut déjà voir clairement s’il s’agit d’un garçon ou d’une fille. Cela ouvre la voie à l’avortement à base de sexe.
RÉDUIRE LE TEMPS D’ATTENTE ?
Le temps d’attente doit être réduit de 6 à 2 jours après la première visite. La préservation du temps d’attente est importante, car lors de la première visite, l’aide psychologique et matérielle disponible est offerte pour permettre la poursuite de la grossesse. Une fois qu’elle détient toutes les informations dans ce domaine et indépendamment de la pression de la famille et du père de l’enfant à naître, la mère peut décider définitivement.
AVORTEMENT COMME INTERVENTION MÉDICALE ?
Le nouveau projet de loi fait de l’avortement un « acte médical » ordinaire, un peu comme un traitement de pneumonie. Considérer l’avortement comme une intervention médicale dans les soins de santé est également une menace pour la liberté de conscience des prestataires de soins (médecins, personnel infirmier, sages-femmes) qui ne veulent pas coopérer.
Ici, vous pouvez trouver encore plus d’objections aux projets de loi soumis (Sources>>).
Souhaitez-vous signer la pétition lorsque vous, avec nous, rejetez le nouveau projet de loi ?
Merci d’avance.
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Pétition : Vote pour la protection de la vie à naître en Belgique
Représentants de la Chambre,
Chers représentants du Comité de la justice,
Nous sommes profondément préoccupés par le nouveau projet de loi qui a conduit à l’extension de la loi sur l’avortement.
Plus de 20 000 avortements sont pratiqués chaque année en Belgique. Si les décideurs tardifs devaient être appelés à travailler, le nombre d’avortements continuerait d’augmenter. C’est absolument indésirable.
Pour contrer cela, nous attendons de vous que vous proposez la réduction du nombre d’interruptions de grossesse et une meilleure orientation et soins pour les femmes en situation d’urgence.
En tant que société, nous devons oser remettre en question notre vision de l’éthique de la vie d’une manière approfondie. Tant que nous ne nous rendons pas compte qu’il s’agit d’une personne vivante, nous n’allons pas peser ses intérêts. Une fois que nous reconnaîtrons pleinement la vie du fœtus, nous représenterons les intérêts de la mère et de l’enfant. Cela conduira à une politique différente et à l’accroc au sens des responsabilités des citoyens.
Nous vous exhortons donc à revoir votre vision si nécessaire, à voter résolument contre ce projet de loi et à proposer d’autres propositions qui protègent la petite enfance.
Merci d’avance.
Pétition : Vote pour la protection de la vie à naître en Belgique
Représentants de la Chambre,
Chers représentants du Comité de la justice,
Nous sommes profondément préoccupés par le nouveau projet de loi qui a conduit à l’extension de la loi sur l’avortement.
Plus de 20 000 avortements sont pratiqués chaque année en Belgique. Si les décideurs tardifs devaient être appelés à travailler, le nombre d’avortements continuerait d’augmenter. C’est absolument indésirable.
Pour contrer cela, nous attendons de vous que vous proposez la réduction du nombre d’interruptions de grossesse et une meilleure orientation et soins pour les femmes en situation d’urgence.
En tant que société, nous devons oser remettre en question notre vision de l’éthique de la vie d’une manière approfondie. Tant que nous ne nous rendons pas compte qu’il s’agit d’une personne vivante, nous n’allons pas peser ses intérêts. Une fois que nous reconnaîtrons pleinement la vie du fœtus, nous représenterons les intérêts de la mère et de l’enfant. Cela conduira à une politique différente et à l’accroc au sens des responsabilités des citoyens.
Nous vous exhortons donc à revoir votre vision si nécessaire, à voter résolument contre ce projet de loi et à proposer d’autres propositions qui protègent la petite enfance.
Merci d’avance.
